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OVNI Tic Tac : L'hypothèse la plus crédible sur le fonctionnement de cette Technologie

  • Olivier de Sedona
  • 22 juil.
  • 5 min de lecture
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En novembre 2004, au large des côtes de San Diego, un groupe de pilotes de chasse de l'US Navy embarqués sur le porte-avions USS Nimitz est témoin d’un phénomène aérien totalement inexpliqué. Ce qu’ils observent ? Un objet blanc, sans ailes, sans réacteur, en forme de bonbon Tic Tac, capable d'accélérations fulgurantes, de changements de direction instantanés, et d'une absence totale de signature thermique. Le tout enregistré par caméras infrarouges et radars militaires.


Cette affaire, longtemps classée secret défense, a refait surface en 2017 avec la publication de vidéos déclassifiées par le Pentagone, déclenchant un regain d’intérêt mondial pour les phénomènes aériens non identifiés, les fameux UAP.


Mais derrière cette apparente énigme, que savons-nous réellement ? Technologie extraterrestre… ou prototype top secret bien humain ? Aujourd’hui, on plonge dans ce dossier devenu l’un des plus célèbres de l’ufologie moderne : l’affaire du Tic Tac


L’affaire du Tic Tac UFO, filmée en 2004 par des pilotes de la Navy à bord de leurs avions de chasse F/A-18 Super Hornet au large de San Diego, reste l’un des cas les plus médiatisés du phénomène OVNI. Popularisé par la célèbre vidéo "FLIR1", rendue publique en 2017, ce cas intrigue encore aujourd’hui les ufologues et les sceptiques.

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Mais faut-il réellement y voir un engin extraterrestre ? Une analyse pragmatique permet de proposer une hypothèse beaucoup plus terre-à-terre, quoique non moins fascinante : celle d’un drone militaire expérimental appartenant à un programme secret.


Un ballon rigide sous haute pression : la piste technologique


L’une des explications les plus plausibles évoquées par plusieurs ingénieurs en aérospatial est celle d’un ballon rigide, de forme allongée, constitué de matériaux composites ultra-légers, comme ceux utilisés dans l’industrie aérospatiale. Ce ballon serait rempli d’un gaz très léger sous haute pression, ce qui lui permettrait de maintenir une flottabilité contrôlée tout en offrant une grande stabilité en vol. Son absence de surfaces de contrôle visibles (ailes, hélices ou gouvernes) et de signature infrarouge pourrait s’expliquer par l’absence de moteur à combustion, remplacé par des micropropulseurs à gaz neutre ou des systèmes de propulsion ionique silencieuse, testés en milieu contrôlé.


Ce genre de plateforme pourrait ainsi flotter à différentes altitudes, accélérer rapidement dans certaines conditions, et rester furtif aux radars conventionnels. Cela coïnciderait parfaitement avec le comportement observé par les pilotes de la Navy et les systèmes embarqués du USS Princeton.


Le milieu maritime : un terrain d’essai idéal


Le fait que ces observations aient eu lieu au large des côtes californiennes, dans un environnement maritime fréquenté par des bâtiments de guerre américains, renforce l’idée d’un test technologique. L’océan est un terrain d’expérimentation idéal pour les technologies secrètes : vaste, isolé, peu peuplé, il permet de mener des essais sans éveiller les soupçons du public.


Les pilotes des avions en exercice, ainsi que les personnels des navires n’étaient pas prévenus de l’existence de cet objet. Seuls quelques très hauts gradés l’étaient. Toutes les mesures et observations ont été récupérées par les personnels civils et militaires impliqués dans cette expérience pour analyses.


Les objets décrits comme "descendant à grande vitesse de 80 000 à 20 000 pieds" pourraient correspondre à des sauts de capteurs balistiques internes ou à des erreurs d’interprétation radar, surtout si le signal provient d’un ballon capable de changer de pression interne. Cependant une autre explication plus simple dans la physique existe : la poussée d'Archimède. Tout corps plongé dans un fluide subit une poussée verticale, appliquée à son centre de gravité. Cette force est appelée poussée d'Archimède, du nom du célèbre savant grec qui l'a découverte. L'intensité de cette force est égale à celle du poids du volume de fluide déplacé et s'oppose au poids de l'objet. La pression étant plus forte sur la partie inférieure d'un objet immergé que sur sa partie supérieure, il en résulte une poussée globalement verticale ascendante, ce qui pourrait expliquer les déplacements à des vitesses instantanées.


Mais alors comment fonctionnerait cette technologie ?


Les tuyères sont placées à la base pour une meilleure stabilité de l’ensemble. Leur orientation peut être pilotée individuellement ou groupées à distance suivant la trajectoire désirée.


L’objet est lâché d’un support sous-marin et remonte en surface à grande vitesse avant de prendre de l’altitude dans les airs. Un tel objet pourrait atteindre des altitudes bien supérieures à celles obtenues avec des drones à hélices. De plus, il pourrait rester bien plus longtemps en l’air en consommant moins d’énergie. Ces tuyères orientables laissent sortir le gaz à la demande afin de prendre des trajectoires diverses. En perdant du gaz, l’objet redescend vers la mer pour s’y enfoncer et être récupéré.


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Northrop Grumman : l’ombre derrière le Tic Tac ?


Parmi les noms circulant en coulisses, celui de Northrop Grumman revient avec insistance. Ce géant de l’aéronautique est à l’origine de certains des programmes les plus secrets de l’histoire militaire américaine : le B-2 Spirit, des drones furtifs, et des technologies de détection avancée.


Des rumeurs persistantes évoquent un programme dit "AQUA DRONE" ou "BathyDrone", qui serait un projet de drone aérien/submersible capable d’opérer à la fois dans l’air et sous l’eau. Ce type de technologie correspondrait parfaitement aux témoignages des opérateurs radar de l’USS Princeton, qui ont déclaré avoir vu des "objets se déplaçant de l’air vers la mer".


Il n’est pas exclu que ce "Tic Tac" ait été un prototype de reconnaissance ou de test furtif, lâché volontairement dans une zone où des exercices militaires avaient lieu pour observer les réactions des pilotes… ou tester un nouveau système de camouflage technologique.


Une affaire fascinante… mais peut-être pas extraterrestre


Si l’on écarte l’hypothèse extraterrestre – séduisante mais non démontrée – l’affaire du Tic Tac semble correspondre à un essai technologique classifié, probablement mené par une entreprise privée sous contrat avec le gouvernement américain. Les caractéristiques de l’objet, son comportement et sa localisation appuient cette thèse.


Ce cas illustre à quel point le secret militaire et l’innovation technologique peuvent brouiller la frontière entre science-fiction et réalité, et nous rappelle que les plus grands mystères ne viennent pas toujours des étoiles… mais parfois de nos propres hangars.


Conclusion


L’affaire Tic Tac, loin de prouver une présence extraterrestre, nous ouvre une autre piste tout aussi intrigante : celle d’un drone expérimental maritime, rigide et furtif, conçu pour des missions d’observation ou de guerre électronique. Northrop Grumman, acteur discret mais puissant du complexe militaro-industriel, pourrait bien se cacher derrière cette énigme. Mais tant que les documents officiels resteront classifiés, le Tic Tac restera… un mystère flottant entre ciel, mer et secret défense.


Une remarque s’impose : jamais l’ordre d’intercepter, d’abattre le Tic Tac n’a été donné ni aux avions de chasse, ni aux défenses anti-aérienne des navires.


Voici le podcast de cet article :

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Olivier de Sedona

 
 
 

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